Le syndicat des vignerons de l’Aude a appelé à les soutenir, pour défendre la ruralité, mais aussi pour rappeler que sans battues, la régulation des dégâts de sangliers serait impossible. De son côté, la Confédération paysanne des Pyrénées-Orientales a saisi l’occasion pour interpeller les chasseurs sur leurs responsabilités vis-à-vis des dégâts de gibier, qui se multiplient d’année en année.
« Nous avons en même temps profité du marché paysan pour expliquer aux consommateurs que sans les chasseurs, ces dégâts remettraient en cause la production des aliments locaux de qualité qu’ils apprécient. Nous avons besoin de chasseurs, mais de chasseurs responsables, qui arrivent à réguler les populations de sangliers et de cervidés », affirme Victor Tublet, le porte-parole de la Confédération paysanne.