Le jeudi 19 mai 2022 sur Euronext, la tonne de blé a clôturé à 422,25 € (–8,25 € par rapport à la séance précédente) sur l’échéance de septembre et à 416,25 € (–8 €) sur celle de décembre. La tonne de maïs a clôturé à 363,25 € (–7,75 €) sur l’échéance de juin et à 368 € (–7,25 €) sur l’échéance d’août.

 

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Ce vendredi 20 mai, vers 11 h sur Euronext, la tonne de blé s’établissait à 415,75 € (–0,50 €) sur l’échéance de septembre et à 415,25 € (–1,00 €) sur l’échéance de décembre. La tonne de maïs s’échangeait à 366,50 € (+3,25 €) sur l’échéance de juin et à 368,75 € (+0,25 €) sur celle d’août.

« Une correction technique »

« Les marchés poursuivent leur repli, dans ce qui est encore considéré comme correction technique après la forte progression de ces derniers temps », signalait ce matin le cabinet Agritel. Le marché reste néanmoins volatil avec de forte incertitude, notamment dans le contexte du conflit en Ukraine.

 

À la Bourse de Chicago, les cours du blé continuaient de se replier, à la faveur de l’arrivée prochaine de pluies bénéfiques aux cultures. Les semis de blé et d’orge au Canada progressent mais restent en retard par rapport aux années précédentes : l’avancement est de 29 % des surfaces pour le blé au 16 mai et de 27 % pour l’orge.

 

En France, le déficit hydrique persiste : « On enregistrera très probablement au moment de la récolte des écarts de rendements extrêmement importants selon les régions et selon la nature des sols », indique Agritel.