L’ONCFS répond ainsi aux éleveurs du syndicat ovin de l’Ariège qui se sont inquiétés d’éventuels risques sanitaires liés à la maladie « TBE » ou encéphalites à tiques. Après la capture des deux ourses, les techniciens et vétérinaires qui ont procédé à leur examen n’ont pas retrouvé de tiques sur leur corps.
Un traitement acaricide
« Les deux femelles ont néanmoins fait l’objet d’un traitement acaricide par le vétérinaire français présent sur place, assure l’ONCFS. Ce traitement garantit que toute tique éventuellement présente sur les ourses a été tuée et n’était donc plus en capacité à transmettre le virus lors de l’arrivée des animaux sur le sol français ».