Ce chiffre est « compris dans la fourchette de 0,25 % à 0,37 % observée au cours des neuf années précédentes », précise l’Efsa. Au total, 710 000 échantillons ont été analysés, issus de 27 des 28 États membres de l’Union européenne.

Surtout des métaux

« La non-conformité pour les contaminants chimiques tels que les métaux était plus élevée que pour les autres groupes de substances. Les taux de non-conformité pour les lactones d’acide résorcylique (composés à action hormonale qui peuvent être artificiels ou produits par des champignons), pour les mycotoxines (toxines provenant de champignons) et pour les agents antithyroïdiens ont tous diminué en 2016. »

« En outre, en 2016, par rapport aux années précédentes, les fréquences les plus élevées et les plus basses d’échantillons non conformes pour les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les antibactériens, respectivement, ont été signalées. »

E.C.