Les motifs de macramé naissent de l’alternance de nœuds marins : plat, de cabestan, de capucin, en tête d’alouette, en demi-clé, du pendu, de Joséphine... « Ce qui est important, ce n’est pas la mémorisation, mais la visualisation dans l’espace du passage des fils. Chez les enfants, cela développe des qualités de logique, de concentration, d’anticipation », explique Marie-Annick Lepetit, qui donne des cours de macramé en Corrèze (1). En adaptant la grosseur de la ficelle, petits et grands peuvent faire une tenture murale tenue sur un bois flotté, un attrape-rêves, une suspension pour une plante ou des bijoux. Pour une création plus personnelle, il suffit d’insérer des perles de céramique, de la laine ou du raphia. Une fois rompu à la technique, il est possible de réaliser un hamac ou un berceau.
(1) À la Poterie du Doustre, à Uzerche, tél. : 05 55 98 80 75. https://lepetitceramique.wordpress.com
Fournitures : corderie et ficellerie Maurice Palus, à Saint-Pantaléon-de-Larche. http://www.palusmauricesarl.fr