« À Chicago, les prix du maïs ont grimpé sur leurs plus hauts niveaux depuis dix ans, relate Sitagri. Ils sont poussés à la hausse par le conflit en Ukraine et par les retards dans les semis aux États-Unis. » En effet, au 1er mai, seulement 14 % des surfaces américaines étaient semées. Le rythme progresse mais « demeure néanmoins dans la fourchette basse des attentes et des moyennes des dernières années », souligne Agritel.

« Au Brésil, les opérateurs s’inquiètent d’un manque de pluie persistant sur le centre de la zone de production de maïs safrinha, ce qui pourrait affecter les rendements », relève également l’AGPM.