Le contrôle technique des voitures se corse. À partir du 20 mai 2018, les techniciens vérifieront 132 points, soit 10 de plus. L’examen, plus long, durera environ une heure et devrait coûter 20 % de plus : « Nous contrôlerons les défauts des véhicules légers avec plus d’exigence, comme pour les poids-lourds », explique un technicien d’Autosur. Trois niveaux de défaillance seront considérés au lieu de deux. À la « défaillance mineure », qui ne nécessite pas de contre-visite, au « défaut majeur », à corriger sous deux mois, s’ajoutera la « défaillance critique ». Par exemple : jeu dans la direction, perte de liquide… Dans ce cas, la voiture devra être réparée pour être autorisée à rouler de nouveau. « Cette nouvelle réglementation a surtout pour objectif d’éviter la circulation de véhicules dangereux », estime de son côté un agent d’Autovision.
Voitures : Le contrôle technique se durcit
À compter du 20 mai, l’état des automobiles sera davantage contrôlé.
