Le prix du blé a rebondi la semaine dernière, en lien avec « l’escalade des tensions entre la Russie et l’Ukraine, rapporte Tallage. Les marchés ont réagi à la hausse, dans la crainte qu’une invasion de l’Ukraine par la Russie ne vienne perturber les expéditions de la mer Noire. » Par ailleurs, les basses températures au centre des États-Unis entraînent des craintes sur les blés en zones sèches, qui ne sont pas protégés par une couverture neigeuse suffisante. Le Moyen-Orient est très présent à l’achat, notamment l’Algérie, la Turquie et l’Iran. « Les blés français ne seront pas parmi les origines choisies », indique Tallage.