Le 26 septembre, le marché apprenait que l’Égypte a acheté 60 000 t de blé français et 240 000 t de blé russe. Les cours européens ont suivi cette nouvelle à la hausse. « Le fait de parvenir à exporter sur cette destination confirme une certaine compétitivité de l’origine France sur la scène internationale », indique Agritel.

À Chicago, les prix du blé sont montés en raison des zones de sécheresse persistantes en Argentine et en Australie, ainsi que du temps humide dans l’État du Dakota (Etats-Unis). Ces conditions retardent les moissons et exposent la récolte à d’éventuels problèmes de qualité.