Après vingt ans de tractations, l’Union européenne et le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) ont finalement signé un accord de libre-échange vendredi 28 juin. Au moment d’écrire ces lignes, son contenu exact concernant le maïs est incertain, mais « les craintes quant aux distorsions de concurrence sont réelles face à des pays ne disposant pas du tout des mêmes standards de production », s’émeut l’AGPM. Parallèlement, les marchés poursuivaient leur repli initié vendredi soir après le rapport USDA, dans lequel les chiffres sur les surfaces de maïs étaient supérieurs aux attentes.