D’une semaine à l’autre, les cours du blé ont poursuivi leur ascension sur le marché physique. « Pour les blés français, l’accès de fièvre particulier semble lié à des achats de plusieurs bateaux de blé français par la Chine, achats portant sur une qualité du type fourrager avec sans doute des PS peu élevés », a indiqué Tallage, en fin de semaine dernière. L’ampleur de ces ventes vient ainsi « rappeler la faiblesse de l’offre disponible ».
À ces niveaux de prix, les blés argentins (récolte attendue autour de 20 millions de tonnes, selon Agritel) pourraient concurrencer les origines françaises sur le marché nord-africain.