Bien que les orges françaises soient sous pression de l’arrivée sur le marché des céréales ukrainiennes, elles « demeurent encore plus chères que leurs concurrentes de la mer Noire. Elles sont également plus chères que les orges anglaises, qui demeurent les plus attractives du marché », note le cabinet Tallage. Il souligne également que « les exportations anglaises vers les pays tiers n’atteignent jamais de très hauts niveaux, mais il n’est pas exclu non plus que quelques bateaux anglais puissent se faire sur l’Arabie Saoudite, comme ce fut le cas en 2019-2020 ».
Au 13 juillet, il restait 10 % des orges d’hiver françaises à moissonner, selon Céré’Obs.