Comme le blé, les cours du maïs baissent. Entre autres raisons, le retour du beau temps aux États-Unis. De plus, le maïs français reste peu compétitif sur le marché européen, notamment par rapport à l’Ukraine.

Il rencontre « un intérêt plus soutenu auprès des fabricants d’aliments du bétail, qui le favorisent dans leurs formulations », remarquait Coop de France-Métiers du grain. Selon FranceAgriMer, il serait la seule des trois grandes céréales fourragères à progresser dans les aliments composés, avec 3,3 Mt, contre 2,5 Mt en 2017-2018, au détriment de l’orge et du blé.