Les agriculteurs ont répondu à l’appel des trois principaux syndicats agricoles. Ils sont descendus dans les rues le 28 janvier et comptent se mobiliser à nouveau. Ils dénoncent les « prix de misère » et « la grave situation de manque de rentabilité » des exploitations. Les pratiques de la grande distribution sont mises en avant : « Le producteur n’a aucun pouvoir de négociation par rapport à ce qu’il vend », précise Lorenzo Ramos, secrétaire général de l’UPA.