Selon Soufflet, la voie fluviale a un fort potentiel de développement, puisqu’elle ne représente que 4 % de la part de fret en France. Le projet du négoce de mise à grand gabarit de la Seine entre Bray-sur-Seine et Nogent-sur-Seine permettrait de gagner 15 à 20 % de compétitivité, et de raccorder le Grand-Est et le sud de l’Ile-de-France aux grands ports du Nord. Pour Soufflet, la « massification des flux » est un facteur clé de la valorisation des céréales françaises à l’export.