Avec la récolte 2018 affectée par la sécheresse, le NEPG, producteurs de pommes de terre du Nord-Ouest européen, constate un manque de plants. Certains agriculteurs n’ayant pas signé de contrat d’approvisionnement pourraient ne pas pouvoir planter. Par ailleurs, les variétés destinées au frais ou à la fécule pourraient être utilisées pour la transformation afin de sécuriser l’approvisionnement des usines. Alors que le prix est relativement haut, à plus de 300 €/t sur le marché libre, la hausse des surfaces de pommes de terre de transformation voulue par les industriels pour compenser les faibles stocks ne sera peut-être pas possible.