La récolte d’olives a été plus importante que prévu, ce qui a permis de compenser un moindre rendement en huile dû à une floraison tardive et à un ensoleillement insuffisant.
L’association française interprofessionnelle de l’olive estime que « la qualité est encore au rendez-vous cette année, avec plus de 80 % d’huile produite en vierge extra et 20 % en huile d’olive maturée ». Avec le manque d’ensoleillement, les huiles seront « plus douces, moins herbacées avec des arômes de fruits (secs, notamment) plus développés ».
L’association rappelle que « malgré cette belle année, la production française ne représente qu’à peine 4 % de l’huile d’olive consommée en France ».