Une étude de l’université de Nanjing montre que, pour la sécurité alimentaire et la lutte contre le réchauffement climatique, l’agriculture actuelle à base de riz, maïs et blé n’est pas viable. L’étude préconise la culture de la pomme de terre, qui permettrait de réduire les quantités de gaz à effet de serre libérés (entre 13 et 24 %), la consommation d’eau (11 %) et l’utilisation des terres arables.