Les mouvements à l’export tendent à se renforcer sur l’Asie. Sur les marchés en vif, les volumes sont modestes, mais en adéquation avec les faibles besoins des abattoirs. Les tarifs restent convenables pour un débouché de niche, notamment dans les blondes d’Aquitaine, parthenaises, limousines ou aubracs de qualité bouchère. La dégradation des prix se renforce sur l’ensemble des allaitantes de choix secondaire.
En réformes laitières, la pression sur les prix persiste. Dans les jeunes bovins, malgré la faiblesse de l’offre sur le marché français, le climat commercial reste pesant, avec des débouchés fortement concurrencés sur les marchés exports.