En 2017, Patrick Gouyou a reçu à deux reprises des scientifiques intéressés par ses milliers d’objets. Lauriane Martinet, étudiante en doctorat d’archéologie à l’Université de Nice, et dont les parents exploitent une ferme voisine de celle de Patrick Gouyou, a déjà commencé un inventaire de sa collection.
Les recherches devraient se poursuivre et mener à une étude stratigraphique qui permettra des datations précises.