GIRONDE. Le 20 mars, à Libourne, le parquet a requis la relaxe au procès de deux châteaux bordelais qui avaient procédé en 2014 à l’épandage de fongicides près d’une école où vingt-huit élèves et une enseignante avaient été pris de malaises. La procureure a conclu son réquisitoire en soulignant qu’« il n’y a aucune certitude sur le lien de causalité entre les épandages et les malaises ».