À Chicago, les cours du blé sont en effet repartis à la hausse après la publication du dernier rapport Statscan.

 

L’organisme statistique canadien a publié des chiffres selon lesquels les agriculteurs ont planté dans le pays moins de blé qu’en 2018 et moins que prévu en avril.

 

« Les surfaces de blé au Canada en baisse par rapport à l’an dernier apportent un élément de soutien tant en blé tendre qu’en blé dur. Les surfaces de blé dur sont en recul de l’ordre de 20 % par rapport à la campagne dernière », selon le cabinet Agritel.

 

Le Canada est le plus gros producteur au monde de blé dur, destiné notamment à la fabrication des pâtes.

 

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé meunier reculait de 0,50 euro sur l’échéance de septembre à 182,25 euros et de 0,25 euro sur l’échéance de décembre à 187 euros.

 

La tonne de maïs, elle, regagnait 1 euro, sur l’échéance rapprochée d’août à 178,50 euros, et 0,50 euro sur celle de novembre, à 178,50 euros.