« Rien n’y fait, quelles que soient les nouvelles, les opérateurs financiers appuient toujours sur les cours des marchés à terme », a commenté le cabinet Agritel.

 

La prudence restait de mise sur le marché, alors que les cours du blé sur Euronext ont subi en février un mouvement de panique qui les a entraînés sous la barre symbolique des 200 euros.

 

D’une manière générale, les opérateurs restaient dans l’attente de l’officialisation de l’accord commercial entre les États-Unis et de la Chine. En l’absence d’information à ce sujet, les céréales étaient pénalisées.

 

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé reculait de 2,50 € sur l’échéance de mars, à 190,75 €, et de 3 € sur celle de mai, à 185 €.

 

La tonne de maïs baissait nettement sur l’échéance de mars de 9 €, à 155,25 €. Elle diminuait également de 1,25 € sur celle de juin, à 168,75 €.