Vers 17h45 sur Euronext, la tonne de blé perdait 75 centimes sur l’échéance de mars, à 170,75 €/t et 75 centimes également sur mai à 173,25 €/t, dans un volume d’échanges de 17 500 lots environ.

 

Le marché était d’autant plus calme que « les Américains ne sont pas là, c’est le Presidents’ Day », jour férié aux États-Unis, rappelait un analyste du cabinet Inter-Courtage.

 

Au sujet de la baisse du cours du blé, « il n’y a pas d’élément particulier, c’est une petite consolidation en attendant de savoir comment les marchés américains redémarrent », ajoutait-il.

 

Outre les marchés américains, les regards se tournent également vers le déficit hydrique hivernal sur la France, « à suivre de près dans les semaines à venir, dès que les températures remonteront, avec des craintes sur une sensibilité marquée au printemps face au stress hydrique, compte tenu des faibles réserves actuelles », souligne pour sa part le cabinet Agritel.

 

La tonne de maïs, elle, était plus stable, inchangée sur mars à 171,25 €/t et reculant à peine, de 50 centimes, sur juin à 173 €/t, dans un volume d’échanges en dessous des 900 lots.