« Le déficit hydrique demeure préoccupant dans de nombreux pays d’Europe, y compris sur le bassin (de production de la) mer Noire, où les semis d’automne se font dans le sec. À ce jour, 5 % des surfaces de blé d’hiver en Ukraine et 35 % en Russie sont estimées emblavées », a indiqué le cabinet Agritel dans une note publiée ce jeudi.
Autre point d’inquiétude, l’Argentine : selon la Bourse de Rosario, la récolte de blé à venir pourrait ne s’établir qu’à 18 millions de tonnes et celle de maïs à 48 millions en raison d’un phénomène climatique.
Vers 17h20 sur Euronext, la tonne de blé tendre progressait de 1,75 euro sur l’échéance de décembre, à 190,50 euros, et de 1,25 euro sur l’échéance de mars, à 191,50 euros.
La tonne de maïs, quant à elle, progressait de 1,50 euro sur l’échéance de novembre, à 168,25 euros, et de 1,25 euro également sur l’échéance de janvier, à 170,25 euros.