La monnaie unique tournait autour de 1,0860 dollar, favorisant ainsi la compétitivité à l’exportation des céréales européennes. Si les conséquences du développement du nouveau coronavirus en Chine sont difficilement mesurables à ce jour sur le commerce du grain, le ralentissement économique en Chine pèse sur les coûts du fret, « en net repli et qui rendent la compétition entre les pays exportateurs encore plus vive, notamment sur les destinations lointaines », a noté le cabinet Agritel dans une note.
En Russie, alors que les surfaces d’hiver ont progressé de 865 000 d’hectares cette année, à 18,3 millions d’hectares, « 94 % de ces surfaces sont dans des conditions satisfaisantes à bonnes », a rapporté pour sa part le cabinet Inter-Courtage.
Peu avant 16h30 sur Euronext, la tonne de blé progressait de 25 centimes sur l’échéance de mars, à 192,75 €, et restait stable sur l’échéance de mai, à 191,50 €.
La tonne de maïs, quant à elle, regagnait 75 centimes sur le contrat de mars, à 168,25 €, mais diminuait de 25 centimes sur le contrat de juin, à 172,25 €.