« Le blé continue d’anticiper la hausse de la production russe », commentait Michel Portier, gérant du cabinet Agritel.

 

« Les conditions climatiques sur le bassin de la mer Noire demeurent à ce jour très favorables aux cultures, même si sur l’Europe la pluie se fait toujours attendre dans nombre de régions », soulignait le cabinet dans une note.

 

Aux États-Unis, « les perspectives d’amélioration également des conditions climatiques devraient permettre une avancée des semis de printemps », poursuivait Agritel, indiquant que cela devrait inciter les fonds américains à vendre davantage encore à la Bourse de Chicago.

 

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé reculait de 1 euro sur l’échéance de mai, à 181,50 euros, et de 1,50 euro sur celle de septembre, à 171,25 euros.

 

La tonne de maïs, quant à elle, regagnait 25 centimes d’euro sur l’échéance de juin, à 164,25 euros, et était stable sur celle d’août, à 168,75 euros.