Le ministère a estimé à 18,5 % la baisse de surface du colza, conséquence de la sécheresse de 2018. Ces chiffres « ont donné un peu d’air » aux cours du colza, estimait Damien Vercambre, du cabinet Inter-Courtage, qui évoquait également les « conditions sèches » qui touchent certaines régions.

 

Vers 18h00 sur Euronext, la tonne de colza regagnait 75 centimes d’euro sur l’échéance de mai, à 359,75 euros, et 1,75 euro sur l’échéance d’août, à 364,25 euros.