Le maïs subit « la pression liée notamment aux importations d’origine est-européenne et à la récolte record qui se profile en Ukraine », attendue à plus de 32 millions de tonnes, selon le cabinet Agritel.

 

« Autre facteur déprimant pour le marché, outre les mesures américaines sur le commerce mondial : la fièvre porcine qui s’étend un peu partout dans le monde et qui pourrait aboutir à une baisse de la demande (de céréales, NDLR) dans la filière de l’élevage », ajoute Agritel.

 

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé gagnait 0,75 € sur l’échéance de décembre, à 201 €, et 1 € sur l’échéance de mars, à 204,25 €.

 

La tonne de maïs gagnait 0,75 € sur l’échéance de novembre, à 167,25 €, et était stable sur celle de janvier, à 171 €.