À 17h00 sur Euronext, la tonne de blé reculait de 2,5 € sur l’échéance de mai, à 169,25 €, et de 0,25 € sur celle de septembre, à 175 €, pour un peu plus de 50 700 lots échangés.
Les cours du blé étaient toujours soutenus par les inquiétudes climatiques américaines : le cours du blé a progressé à Chicago, soutenu par les remontées de terrain d’un comité d’experts aux États-Unis faisant état de prévisions de rendements inférieurs aux années précédentes pour la récolte d’hiver.
Sur le plan monétaire, l’euro restait sous le seuil de 1,20 dollar et reculait dans un marché prudent avant la publication mensuelle du rapport sur l’emploi américain, et tandis que des négociations commerciales se tiennent toujours entre les États-Unis et la Chine.
L’indicateur Céré’Obs de FranceAgriMer a très légèrement relevé, d’un point, ses surfaces de blé cultivées dans des conditions bonnes à très bonnes, à 78 %.
Les cours du maïs, quant à eux, étaient à l’équilibre, tant sur l’échéance de juin, à 167 €, que sur celle d’août, à 171,50 €, pour près de 400 lots échangés.
Sur le marché physique, les blés ont également connu cette semaine un net renchérissement des prix.