Vers 17h30, la tonne de blé perdait 50 centimes sur mai à 162,75 euros et regagnait 1 euro sur septembre à 170,25 euros.

 

« Le principal élément de support, c’est la baisse de l’euro par rapport au dollar », commentait un analyste du cabinet Inter-Courtage.

 

Le ciel était également scruté par les marchés qui ne sonnent pas encore l’alarme mais surveillent l’alimentation en eau des cultures.

 

« On est dans le sec », résumait l’analyste d’Inter-Courtage, pour qui, si on n’est pas encore dans un grand besoin d’eau, « il va falloir qu’il pleuve dans les 15 prochains jours », notamment sur le Rhin où la situation commence à se tendre, avec un retour de basses eaux.

 

Le cabinet Agritel faisait également état d’une surveillance de plus en plus accrue à apporter au déficit hydrique, qui pourrait devenir pénalisant s’il venait à perdurer dans les semaines à venir.

 

La tonne de maïs, elle, était stable sur l’échéance de juin à 169,25 euros et baissait de 25 centimes sur celle d’août à 175,75 euros.