Vers 17h40, la tonne de blé gagnait 50 centimes pour mars, à 173,50 €/t et 1 € pour mai à 175,50 €/t, dans un volume d’échanges de près de 43 200 lots.
« L’échéance mai est au plus haut depuis six mois », soulignait un analyste, qui notait le « soutien d’un euro qui continue de s’affaiblir », alors que le marché européen du blé reste encore peu élevé par rapport à la Bourse de Chicago.
« En Russie, le ministère de l’Agriculture a annoncé qu’il ne s’attendait pas à ce qu’il y ait un problème de qualité des blés en fin de campagne même s’il est difficile d’acheminer le blé de qualité présent dans les terres, notamment en Sibérie, jusqu’aux zones portuaires », rapporte de son côté le cabinet Inter-Courtage.
La tonne de maïs, elle, était stable pour mars à 172,75 €/t, et baissait légèrement de 25 centimes pour juin à 174,25 €/t, dans un volume d’échanges au-dessus des 1 500 lots.