« Tous les pays exportateurs de la communauté européenne ont bien avancé dans leur programme d’exportation », commentait un analyste du cabinet Agritel, pour qui « tout le monde doit freiner ses exportations sur la deuxième partie de campagne ».
En France, la surface de blé tendre d’hiver semée cette année atteindrait 5,2 millions d’hectares, selon une note d’Agreste, l’organisme de la statistique du ministère de l’Agriculture. Elle serait stable sur un an (+0,2 %) et en augmentation de 3,5 % par rapport à la moyenne de 2012 à 2016. En revanche, le blé dur d’hiver connaîtrait une baisse de ses surfaces de semis de 2,1 % sur un an, après deux années de fortes hausses.
Vers 17h00, le cours du blé stagnait pour l’échéance de mars à 170 €/t, et celle de mai à 171,50 €/t.
À la même heure, le maïs gagnait 0,75 € sur le contrat de mars à 170,75 €/t, et 0,50 € sur celui de juin à 172,25 €/t.