S’intéressant plus particulièrement aux effets économiques, sociaux et environnementaux des AOC, AOP et IGP sur un territoire, l’organisme présidé par le ministre de l’Agriculture met en avant « une meilleure valorisation du produit d’origine au regard du produit standard pour certaines indications géographiques » (téléchargez l’étude).

Une mise en avant à améliorer

Une synergie existe, selon le CGAAER, entre le produit sous indication géographique et l’attractivité du territoire. « L’effet très positif d’une indication géographique sur son territoire » se révèle si plusieurs conditions sont réunies, souligne l’organisme.

Pour ce faire, le produit doit posséder des qualités originales liées à la spécificité du produit et des efforts en marketing continus et efficients doivent être réalisés. Le CGAAER recommande en ce sens que les organisations de défense et de gestion de ces signes géographiques et l’Inao (l’Institut national de l’origine et de la qualité) mettent davantage en avant « le caractère non délocalisable et contrôlé » de ces produits.

Alexis Marcotte