Fini la logique du premier et du deuxième piliers de la Pac, avec d'un côté des aides économiques liées aux marchés et, de l'autre, un soutien résiduel au développement rural. Même si l'accord européen du 27 juin n'a pas modifié la structure de la Pac, les deux piliers sont dorénavant interdépendants. En particulier en France, qui a choisi de transférer 3 % des fonds du premier pilier pour renforcer le second et de combiner tous les leviers pour réorienter les aides en faveur de l'élevage et de l'emploi