Les possibilités d'exploiter les réserves de gaz de schiste ne sont pas définitivement enterrées mais il faudra trouver de nouveaux moyens pour extraire ce gaz du sous-sol. En février, la mobilisation du grand public conduit à la suspension des travaux de recherche, qui avaient débuté suite à la délivrance de permis d'exploration en 2010. Le 30 juin, le Parlement interdit la technique de la fracturation hydraulique, jugée très polluante, mais sans fermer complètement la porte à l'exploitation de gaz de schiste. Les permis qui avaient été accordés sont abrogés. Total annonce son intention de déposer un recours.