Une façon de répondre à la grogne grandissante du monde agricole, qui ne voit pas de solution à un problème qui a pris une dimension nationale.

Rappelons que le prédécesseur de l'actuelle ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, avait déjà mis en place durant l'été de 2009 un plan national de maîtrise du sanglier, qui avait pour ambition de traiter la question dans toutes ses composantes (connaissance des populations, détection des points noirs, régulation des populations en surnombre...).