Selon lui, « du côté des politiques, il y a un déficit de compréhension des enjeux stratégiques autour de l’agriculture. Il y a des manipulations, des pratiques commerciales agressives, une guerre de l’information qui interfèrent sur les marchés agricoles. Et le monde politique n’est pas formé pour accompagner cette vulnérabilité. Le monde agricole devrait produire de la connaissance en s’intéressant à ce qui se passe hors de son périmètre mais qui influe sur ce qu’il vit. Il y a un déficit de compréhension des secteurs d’influence. Il y a aussi une méconnaissance de ce qu’apporte l’agriculture au sein de la société : l’alimentation mais aussi la santé, un mode de vie et des territoires entretenus ».
(1) Le réseau des agricommunicants.