Les volumes peinent à couvrir la demande. La situation est la même chez nos voisins européens, où des prix élevés sont observés sur les marchés. Il restera les traditionnels gigots néo-zélandais pour les promotions dans les magasins. La mise en avant de l’agneau français aura un prix, que le consommateur avec un budget moyen aura du mal à s’offrir, même si les GMS proposent des gigots à la coupe.
Les transactions sont dynamiques sur l’ensemble des marchés, avec des niveaux de prix élevés. Ce matin, le marché de Parthenay affichait une nouvelle hausse avec des agneaux laitons E sous signe de qualité, commercialisés entre de 6,10 à 6,70 €/kg vif. Pour les agneaux de 38 à 44 kg, U de conformation, les tarifs se situaient entre 5,80 à 6,10 €/kg à Parthenay ou Châteaumeillant. Les R se sont négociés entre 4,80 à 5,64 €/kg vif dans à Réquista.
Les tarifs des agneaux lacaunes sont également à la hausse à 4,83 €/kg vif à Réquista soit environ 10,70 €/kg de carcasse.
Il en est de même avec les agneaux UE. Les agneaux U couverts de 16-22 kg du Royaume-Uni ont été cotés à 10,50 €/kg net sur le MIN de Rungis.
En brebis, la demande est soutenue avec des brebis U de plus de 60 kg qui se négocient entre 1,80 et 2,45 €/kg vif à Parthenay.