La hausse du prix des engrais a connu un net coup d’arrêt la semaine passée en France et à l’international. Les producteurs européens d’ammonitrates ont bien tenté de passer de nouvelles hausses sur des offres aux volumes réduits pour la nouvelle récolte. Ils n’ont rencontré que des intérêts acheteurs marginaux.

Les prix de l’urée se sont stabilisés, là aussi parce que la demande n’était suffisante pour justifier une hausse tarifaire.

Une chute des prix de l’ensemble du secteur des engrais au Brésil est également à noter en raison d’une demande réduite et d’une tension sur l’offre bien plus relative.