Créée en 1962 par Jean Mauguin, l’usine du constructeur Mauguin Citagri est installée sur la commune de Saint-Berthevin (Mayenne). Le site accueille la construction de l’ensemble de la gamme agricole et des semi-remorques. 80 personnes travaillent à souder, assembler, concevoir et tester les différentes tonnes à lisier. Entre 120 et 130 machines sortent du site tous les ans.
- L'usine dispose de trois simulateurs pour développer et diagnostiquer les boitiers de contrôle de toutes les gammes de tonnes à lisier vendues. © P. Denis/GFA - Les boitiers sont branchés sur les systèmes qui simulent les différentes fonctions d'une tonne à lisier. Il est aussi possible de simuler une panne similaire a celle d'un client pour dépanner à distance. © P. Denis/GFA - Quatre personnes s'occupent à plein temps du magasin. Elles gèrent les pièces à monter sur les tonnes à lisier. © P. Denis/GFA - Les rampes à pendillards de 9 à 24 m et les enfouisseurs à dents sont assemblés dans l'usine. Les enfouisseurs de prairies à disques sont, quant à eux, fournis par Vredo et les rampes à patins par Bomech. © P. Denis/GFA - Les châssis sont soudés à partir de gabarits préfabriqués. Chaque machine, avant de partir en construction, repasse par le bureau d'étude pour être contrôlée. © P. Denis/GFA - Les soudeurs sont amenés à travailler par roulement sur les différentes parties des machines. © P. Denis/GFA - Les tôles destinées à constituer les cuves arrivent directement aux bonnes dimensions. Elles sont ensuite cintrées à l'aide d'une machine. © P. Denis/GFA - Les fonds de cuves sont conçus par une entreprise extérieure. Les versions bombées sont destinées à être montées sur des machines sous pression. Les versions plates ne subissent aucun différentiel de pression. © P. Denis/GFA - Avant de partir en galvanisation ou en peinture, les tonnes sont entièrement assemblées. © P. Denis/GFA - La demande de tonnes à lisier galvanisées se réduit. Cela est dû aux digestats qui sont plus basiques et qui attaquent la matière. © P. Denis/GFA - Les cuves sont peintes avec une couche d'apprêt à l’intérieur. Elle est prévue pour protéger l'acier des agressions des différents produits qui vont être épandus. © P. Denis/GFA - Les rampes Vogelsang arrivent partiellement montées. Les techniciens finissent d'assembler les parties hydrauliques et mécaniques. © P. Denis/GFA - Les cuves reviennent intégralement peintes à la couleur demandée par l'acheteur. © P. Denis/GFA - Un hangar est affecté aux tests des tonnes. Sous celui-ci se trouve une fosse contenant l'eau qui est envoyée dans la cuve. Le circuit d'eau est entièrement fermé. © P. Denis/GFA - Certaines tonnes à lisier sont également renvoyées chez le constructeur pour être entièrement réparées, faisant suite à de gros accidents. © P. Denis/GFA - Deux marques de pneumatiques sont majoritairement montées sur les tonnes à lisier Mauguin Citagri, BKT et Nokian. © P. Denis/GFA - Plusieurs trains roulants sont proposés par le constructeur : simple essieu, bogie, tandem et tridem. © P. Denis/GFA - Les pièces fabriquées sur place sont galvanisées puis stockées dans la cour en attendant d’être montées. © P. Denis/GFA - Mauguin Citagri s'est tourné vers le constructeur polonais Mandam pour équiper ses tonnes à lisier de déchaumeurs à disques. © P. Denis/GFA Previous Next