Les droits de mutation acquittés par un héritier ou un donataire sont déductibles des revenus professionnels de ce dernier si les éléments transmis sont affectés par nature à l’exercice de la profession. Les impôts, dont la déduction n’est pas expressément interdite par la loi, peuvent être compris parmi les charges déductibles, en particulier lorsqu’ils se rattachent à la gestion de l’entreprise, selon le ministre des Comptes publics.

(JO Assemblée nationale, 3 novembre 2020.)