publié en septembre 2019. Il souligne que « pour la quasi-totalité de la population alimentée par une eau non conforme, les dépassements des limites de qualité ont été limités en concentration et/ou dans le temps, ne nécessitant pas une restriction de l’usage de l’eau du robinet pour la boisson ». Cette mesure n’est engagée qu’en cas de risque sanitaire (présence d’au moins un pesticide à une teneur supérieure à la valeur sanitaire maximale, Vmax). En 2018, cette situation s’est présentée pour 0,01 % de la population française.

 

(1) Il n’y a, à ce jour, pas de liste officielle des perturbateurs endocriniens. Générations futures se base sur une liste dressée par l’association américaine TEDX, qui répertorie les PE « suspectés ».

(2) Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.