Le groupe de travail national sur la prédation du loup propose de « fluidifier la communication des informations des acteurs institutionnels vers les éleveurs et le public ». Pour cela, elle envisage :

  • La fusion des bases de données de l’ONCFS et leur publication systématique ;
  • La publication par les préfets des comptes rendus des Comités loup à l’issue de chaque réunion ;
  • L’information par les préfets en temps réel de la présence probable ou avérée du loup dans les différents secteurs sensibles de leur département.

 

Le deuxième « aménagement » complémentaire proposé par le groupe de travail concerne la révision du concept de « zone de présence permanente », jugé trop contraignant car il est acté à l’issue de « deux hivers consécutifs » de présence permanente.

Améliorer la formation sur les chiens de protection

La troisième proposition est liée aux chiens de protection pour lesquels le groupe de travail propose « d’assurer une meilleure formation ». Celle-ci serait délivrée par un organisme indépendant. L’expérimentation de nouvelles races de chiens de protection est également au menu.

 

Dernier point abordé : la mise en place de modules de formation dédiés à la prédation du loup dans les lycées agricoles et les formations supérieures agricoles.