« Les conditions climatiques très sèches en Russie et en Amérique du Sud inquiètent et tendent le marché du blé », indique La Coopération agricole dans une note.

Toutefois, le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a réévalué à la hausse les perspectives de production russe, à 83 millions de tonnes (Mt) pour 2020, contre 78 Mt estimé en septembre.

La prévision pour l’exportation de blé par la Russie est, cette année, gonflée à 39 Mt, contre 34 Mt l’an passé. « Cela ne m’étonnerait pas qu’il y ait une influence baissière sur les cours du blé mondiaux, particulièrement ceux issus des pays de la mer Noire, la semaine prochaine » après ces estimations, a indiqué Gautier Le Molgat, analyste à Agritel.