Les cours du blé sont soutenus par des prix russes en hausse, et par la Bourse de Chicago, tirée par les commandes chinoises de maïs.
L’Algérie a décidé d’ouvrir son cahier des charges aux blés de la mer Noire, notamment aux blés russes. Selon la note de l’autorité publique d’achat algérienne envoyée aux opérateurs, « le taux de grains punaisés est désormais autorisé pour des blés à 12,5 % de protéine (caractéristique des blés russes, NDLR) à 0,5 %, alors que le taux de grains punaisés à 0,1 % reste réservé aux blés à 11 % de protéine (blés français) ».