En France, les stocks d’orges fourragères à la fin juin devraient être bas, ce qui, avec les engagements vers la Chine, maintient les prix.
La demande auprès de l’Union européenne et des pays de la mer Noire devrait rester soutenue, du moins jusqu’à ce que la nouvelle récolte outre-Atlantique soit disponible : ceci favoriserait également les prix, même à l’approche de la récolte. Quant aux tensions commerciales entre la Chine et l’Australie, elles devraient encore profiter à la France par la demande chinoise. En effet, même si l’Organisation mondiale du commerce a accepté d’y travailler en mobilisant un groupe d’experts, le règlement de ce différend pourrait demander un certain temps.