« À la différence d’un pompier, je ne suis pas, en tant que gendarme réserviste, appelé d’urgence pour intervenir immédiatement, explique Antoine Paysant. La brigade nous informe mensuellement de ses besoins. De mon côté, lorsque je sais que j’aurai un ou plusieurs jours disponibles, j’en avertis, un mois, voire quinze jours avant, le bureau départemental, qui établit les plannings. »