Les années 2000 ont vu arriver dans la Vienne et la Charente des agriculteurs britanniques attirés par des prix du foncier sans commune mesure avec ceux pratiqués au Royaume-Uni. Ces nouveaux-venus ont été d’autant mieux perçus qu’ils ont contribué à lutter contre la déprise agricole. La crise de 2008 a donné un premier coup de frein à cette immigration agricole. Le Brexit les dissuade encore davantage et les dossiers se font de plus en plus rares.