Les jeunes générations restent attirées par les viandes hachées ou transformées qui bénéficient d’un très bon marketing pour des tarifs qui correspondent à des budgets serrés. Et quand on passe aux parties nobles, ce sont souvent les promotions qui font vendre.

 

Sur les marchés, c’est un peu la même chose. La marchandise d’entrée de gamme destinée à la transformation se vend sans difficulté face à des volumes qui peinent à couvrir la demande. La tendance reste haussière dans les vaches prim’holsteins, normandes ou montbéliardes.

 

L’activité reste tendue dans les femelles de qualité bouchère avec des acheteurs qui recherchent en priorité du prix pour les promos des GMS plutôt que la qualité. Les charolaises R à Cholet se sont négociées plus facilement dans une gamme de prix allant de 3,43 à 3,58 €/kg avec une moyenne stable et proche de 3,50 €/kg.

 

La tendance reste lourde pour les bonnes vaches charolaises lourdes « U » avec une gamme comprise entre 3,65 et 3,96 €/kg et une moyenne stable à 3,84 €/kg.

 

Dans les jeunes bovins, les volumes restent mesurés, ce qui facilite la vente des charolais. Les tarifs des blonds d’Aquitaine se maintiennent malgré le recul des ventes sur la Grèce pour carême orthodoxe.